LE CHIEN DE RECHERCHE (dressage pour chien de police ou gendarmerie)
Dressage chien pour les stupéfiants
De par leurs qualités olfactives, de nombreux chiens dressés le sont de nos jours pour la lutte antidrogue. Au niveau mondial pour la production contre les drogues douces ou dures. Ces substances dont le commerce est interdit et fortement réprimé peuvent être si facilement cachées. Elle n'en restent pas moins aisément décelable par un chien expérimenté, malgré les inonbrables stratagèmes inventés par les dealers comme le poivre, boites hermétiques, etc......
Bref historique sur les chiens dressé pour les stupéfiants :
C'est en Israël que le chien fut dressé et utilisé pour la première fois dans La recherche des stupétiants. Lors de la guerre du Viêtnam, la police miltaire dressa ses chiens en vue de réduire le trafic illicite de drogues.
En France, c'est en 1965 que commencèrent les essais de chiens "antidrogue par la police nationale". Il fallut attendre près de dix ans pour que la gendarmerie forme ses premiers chiens à Gramat, et quinze ans pour que les douanes adoptent le chien pour la recherche de stupéfiants.
Dès 1970, la France et les Etats-Unis mirent au point des procédures visant à faciliter les perquisitions et les actions préventives. Le problème reste le trafic international ; en effet, dès mars 1972, l'Organisation Des Nations Unies ne pouvait qu'émettre des recommandations sans "porter atteinte à la souveraineté nationale" des pays producteurs, qui peuvent ainsi continuer leur activité.
Les rôles du chien : le principal rôle du chien est bien entendu de découvrir des caches de drogue. Le lieu d'intervention peut cependant varier. Les chiens sont amenés à effectuer leurs recherches dans des locaux (appartements, hangars...), des véhicules (voitures, camions, trains...), en extérieur en contrôlant les personnes.
Les conditions d'intervention amènent parfois les conducteurs à poursuivre des dealers qui peuvent se montrer agressifs lors de l'arrestation.
Le second rôle du chien est alors de maîtriser par son conducteur, toute personne refusant l'interpellation.