En ce qui concerne sa provenance, il serait risqué d'affirmer péremptoirement comme certaine une origine déterminée, car elle est actuellement encore inconnue ; ce ne serait qu'une assertion hypothétique qui ne serait pas basée sur des faits indubitables et qui manquerait de l'indispensable confirmation. Eventuellement venu de l'Orient, l'existence de chiens d'arrêt dans la Péninsule ibérique remonte à une époque passablement lointaine ; sa présence au Portugal est enregistrée avec une certaine vraisemblance dès les dernières décades du XIVème siècle.
S'il en est ainsi, on peut admettre qu'au cours des temps et par suite d'influences de différentes natures, les modifications produites sur l'individu d'origine se retrouvent dans le chien actuel. Dans ces conditions, on peut considérer le chien d'arrêt portugais ou braque national comme un chien autochtone, constituant par ses caractéristiques morphologiques, dynamiques et psychiques une race locale parfaitement bien définie. Le chien d'arrêt portugais vit dispersé sur tout le territoire métropolitain, mais se rencontre en plus grand nombre dans les villes, où les disciples de Saint Hubert sont plus nombreux.
S'il en est ainsi, on peut admettre qu'au cours des temps et par suite d'influences de différentes natures, les modifications produites sur l'individu d'origine se retrouvent dans le chien actuel. Dans ces conditions, on peut considérer le chien d'arrêt portugais ou braque national comme un chien autochtone, constituant par ses caractéristiques morphologiques, dynamiques et psychiques une race locale parfaitement bien définie. Le chien d'arrêt portugais vit dispersé sur tout le territoire métropolitain, mais se rencontre en plus grand nombre dans les villes, où les disciples de Saint Hubert sont plus nombreux.